CR DES ATELIERS DU VENDREDI

Programme vendredi :

7h30-9h30 : Petit-déjeuner

9h30-11h : Plénière d'ouverture

Lien vers le tableau d

Lien vers le tableau des ateliers du vendredi :

Temps pour donner les informations importantes

Temps pour donner un cadre co-responsabilisant et serein

Ensuite un temps focus sur le forum atelier

Lien vers le tableau des ateliers du vendredi :

Temps pour donner les informations importantes

Temps pour donner un cadre co-responsabilisant et serein

Ensuite un temps focus sur le forum atelier

es ateliers du vendredi :

Temps pour donner les informations importantes

Temps pour donner un cadre co-responsabilisant et serein

Ensuite un temps focus sur le forum atelier

Atelier Nextcloud

Présentation romain (établi nantes)

Plusieurs structures qui propose des Nextcloud, plateforme flexible avec le partage de fichier gérer des questionnaire, mais la problématique autour de l'UX, de l'usage que l'on peut avoir de Nextcloud et l'accompagnement n'est pas forcément en Français. Structurer les choses sur l'accompagnement. Lister les ressources, modèle économique, maintenance de la documentation.

...

Mise en place d'un format 2h autour d'une chasse au trésor pour découvrir l'ensemble des fonctionnalités de Nextcloud. On bosse avec Framasoft sur une documentation centré sur l'usage plutot qu'une documentation énorme avec toutes les fonctionnalités.

Rappel, il existe un groupe de Travail sur la documentation, en général. Cf Sur le forum https://forum.chatons.org/t/collaboration-sur-la-documentation/4631 . ça serait bien que le groupe de travail se relance pour permettre de se regrouper et peu être avoir des subventions.

Discussion sur le mode de financement. Exemple de solliciter un fond FEDER par un regroupement de chatons et un projet commun portant . Chatons est un collectif sans structuration juridique pour l'instant, mais un chaton pourrait être porteur de projet.

Il y a aussi la possibilité de mettre en place une liste de formation permettrait de faire de l'accompagnement et de rendre visible plus facilement pour les visiteurs de CHATONS.

Source de financement, on a parlé de FEDER, mais aussi d'EPAL par exemple.

Questions autour de ce qu'est un·e ingénieure pédagogique, et le rôle d'un animateur·trice d'une session de formation. Question autour de la conception d'une séquence pédagogique.

Documentation de OUVATON en cours d'écriture : https://nc.accolades.coop/apps/collectives/p/e3wa7cjfosqnYTc/Documentation%20Nextcloud/

Comment toucher un public non libriste

Idées principales qui ont été évoquée

Note : ce ne sont que des idées

Tour de table

[]S :[] Très compliqué d'amener des gens sur les outils libre

[]M :[] Ne sais pas si elle est libriste. Profil non technique. Proposition de Paheko aux assos locales. Pas de vision politique des interpellés sur les valeurs véhiculées par le logiciel libre

[]T :[]A fait le site du candidat lors des dernières élections. Les militants ne sont pas conscient de l'utilisation des logiciels libres. Comment lutter contre le capitalisme de surveillance alors que tout le monde utilise leurs outils.

[]B :[] Question récurrente avec les autres libristes. Milieu non averti en terme de militantisme sont très difficile à toucher.

An : Profil non technique, contribue aux association autour de lui par educ pop aux LL. Au salon primevert, gens sensibilisé à l'écologie sont plus attentifs mais comme ça coûte l'argent... Pas de solution miracle à proposer.

E : Trajectoire libriste avec détachement sur ce sujet particulier. Travaille avec des gens déjà convaincus pour aider sur le sujet. Utilisent des logiciels libres au quotidien, sans "être libristes". Aller vers les non-libristes, comme pour les non-NFP pour qu'ils votent pour nous, ou est-ce que c'est pour construire ensemble ?

D : Accompagne uniquement des associations. Parle de libre mais pas sujet principal. Ne propose que du LL.

April a pour objectif de parler du Libre et sont toujours dispp pour contribuer.

Sur des évènements pas sur le libre, écologie, alternatiba, inviter les gens qui font ça comme l'April.

Ax : Accompagnement de structures locales pour les mettre en cohérences avec leurs valeurs

Comment suggérer le LL en opposition à des Lprivateurs. Fait 1 an ou 2 que va pas au devant de ça, essaie moins de promouvoir le LL.

Br : Libriste. Profil tech. Design. UX/usage point important qui peut repousser les non libristes quand ce n'est pas pris en compte.

Milieux politisants/politisés plutôt pour. Autres milieux type asso sportive, plus difficile, parce que outil facile, hégémonique, reste implanté. Seuil d'utilisation en-dessous duquel c'est difficile de faire faire le shift.

Bo : Libriste convaincu. Essaie pas de convertir les gens. Dans Paheko, essaie d'attirer les gens par la qualité du Logiciel plutôt que par l'aspect libre. Bcp de logiciels privateurs de mauvaise qualité aussi. Logiciels spécifiques souvent infernaux

P : Libriste passionné par la technique. N'a jamais fait de conversion au logiciel libre (Ironie). Cercle amical et familial. Logiciels doivent apporter quelque chose. Exemple : contenu culturel ou Paheko.

M : attirée par Paheko parce que c'est un LL super bien foutu, bonne entrée, LL qui ouvre des portes. Faut attirer les gens avec des trucs qui les font kiffer ou leur rendent service.

Bo : Rejoint les groupes Whatsapp, Zoom, GDocs pour la campagne législative. Culture startup politique qui ruisselle. Décideurs formés à ces outils là.

An : ya 2 ans, conf écolo. Jeunes écolos atelier autour des RS. Atelier puis question réponse. An "étonné que y'ait pas de LL". S'est fait descendre par l'encadrante.

T : rebondir sur le côté "convaincre". Discours comme le bio. Bio et local. LL et local. Protection des données, prendre soin de ses données et aussi celles de ses ami·es.

Br : Comeme position de convaincre. Bio/LL est mieux que les L utilisés depuis des années. Envie de débattre et convaincre ou concentration sur le fournissage de services de qualité.

B : Attirer les gens par la qualité des produits est bien. Mais il faut aussi convaincre des gens avec des valeurs en adéquation avec le libre. Faire comprendre l'intérêt.

S : Perfection LL : lutter contre les GAFAMs compliqués, neuroscience, M$ en R&D. Pas de possibilité d'utiliser leurs outils.

B : GAFAMs ont tout pour faire les meilleurs L, mais usage de dark patterns pour rendre difficile ce qu'ils veulent pas que tu fasses.

An : Pour arriver à convaincre, être dans le cadre où ça répond à un vrai besoin. Faire arriver la fibre avec Résine, FAI local. Autre ex à Primevert. Sollicités pour devenir adhérent d'hadoly, après des années en contact.

S : présence. milieux libriste peu présent sur l'espace public. Plus on est là, plus on peut intéresser. Élargir ça se fait sur le long terme. Théorie du 100e singe. Espèce qui vit en société. Quand nouveau code social apparait. À partir de 100 singes qui adopte un code social, tout le reste de la société l'adopte.

M : La preuve par l'exemple. Sosi logiciel pour faire des présentations. à la place de canevas. Montrer aux gens des choses qui soient jolies. Travail sur le marketing.

Mettre en avant les logiciels qu'on utilise et ce qu'ils nous permettent.

Sans qqn à côté de toi, le moindre bug peut faire rage-quit → accompagner à la prise en main des outils.

Ax : Est-ce que canvas a été facilement appréhendé par le passé ? Est-ce que même pbtq au départ ou pas ?

M : Pas de souvenirs. L'interface est importante. Le changement est toujours difficile. Quand on a commencé avec un logiciel c'est difficile de changer sur un autre pour les mêmes usages.

Outil arrivé en premier a un avantage, c'est celui avec lequel on a formé notre usage en 1er.

S : Individu. C'est compliqué d'aller voir quelqu'un en direct. A faire dans un cadre collectif.

Cadre collectif plus facile de faire de l'accompagnement.

P : Sur la question du 1er logiciel, il a forcément un avantage. Etre transparent sur les qualités du nuveau.

To : La maitrise d'n ensemble de logicel pour faire quelque chose. en ne présnetant pas des logicles privatuers qu'on en maitrisent pas.

B : Idem sur les systèmes d'exploitation. A permis de convaincre des membres de sa famille.

Même chose pour les OS. Ne sait pas aider sur Windows mais capable de faire du support sur Linux.

Famille de sa copine, ça c'est fait sans insister, juste par du support. La copine puis le frère après, comme ça.

Quand on est pas power user, on est plus ouvert au changement.

Ne pas essayer de convaincre des gens qui sont convaincus par la solution qu'il utilise.

Notion de comptabilité. Exemple photoshop est difficlement partageable : Format interopérable.

Br : truc sur la compatibilité. Ex trucs graphiques au sein d'un collectif. Si 1e personne se lance sur photoshop et que les autres n'ont pas, seul à pouvoir y travailler.

A : Problème du temps à changer de système. Avoir une présence sur le long terme. Na pas avir trop d'attente à court terme.

B : Redire ce qui a été dit au début :

Commencer par des collectifs qui imposent des outils.

Présence continue, dans l'espace public et accompagnement auprès des gens.

Proposer des logiciels de qualité qui répondent à un vrai besoin

T : Convaincre le poweruser n'est pas forcément la bonne solution. Lien n'avait pas été fait : présenter linux à des gens qui n'ont pas encore d'habitude sur un ordi, ça passe crème.

E : Dimension de proposer ça dans un collectif, pas proche, on sort de l'intime, sort d'une position personnelle. Objectif plus collectif. Moins de réactions intimes.

Comment on se sent, est-ce qu'on a retenu des choses ? Savoir si c'est à refaire différemment.

P : Difficle de faire un retour qualitif pour

Si on voit cette discusssion comme un groupe de parole, très positif.

Bo : Répond à la problème de comment on se protège vsi-à-vis de la montée du fascisme. Dans les partis politiques, pas d'équipe sysadmin/technique adaptée. Problème qu'on résoudra pas en 1h.

Br : Réussi à retenir des trucs à droite à gauche. Ne pas essayer de convertir les poer users = super idée.

Ax : Rebondir sur les équipes sysadmin d'entreprise : s'ils pouvaient utiliser leurs compétences pour mettre du libre.

D : Qq soit l'event, invitez l'april et on viendra !

E : Chouette mise en jambe, merci pour la proposition. Qqs perles à piocher, intéressant.

B : Content de cette discussion. Des choses à retirer. Certain qu'aurait aimé faire un atelier plus structuré.

T : chouette discussion, essaiera de mettre en pratique certains trucs.

M : très intéressant, envie de tirer la question du rapport à l'intime.

S : très intéressant, aidé à structurer la pensée. Qui pour synthétiser la prise de note en une liste ?

An : Réintroduire un nouveau truc : autre sujet abordé pendant le camp : dégmailisation. Faire des campagnes autour d'outils qui fonctionnent. Travaux uniquement sur la com.

P : 1 groupe de travil dédéié puis un ateliet avec tout le monde.

Le S de CHATONS

Présenté par Stéphane du chaton 'Hadoly

Le S de l'acronyme est arrivé en dernier parce-que le nom "chaton.org" était déjà réservé

On parlera aussi du N face aux dernières décisions de prise de position suite à l'appel de la LDH

Pourquoi des chats : succès sur internet, donc touche d'humour pour lancer cette campagne/collectif.

Collectif visant à décharger Framasoft et à essaimer en fédérant d'autres structures proposant ces services.

En 2016 : Pierre Yves Gosset annonce le naissance du projet chatons au JDLL (3 vidéos à revoir pour comprendre les 3 tendances.)

Hadoly est créé en réponse à la loi hadopi (d'où le choix du nom).

Remarque sur la nécessitée d'un rôle de community manager qui n'est plus assuré par Angie.

Le s de chatons est celui solidaire, c'est celui de la question sociale. Un marqueur rare dans les mouvements libristes. Celle aussi de la soladiraté entre les chatons.

Une affirmation aussi qu'on retrouve dans la charte chaton que le facteur multiplicateur entre le salaire le plus bas et le haut ne doit pas être supérieur à 4. Cela fait partie de l'audit lors des candidatures au portée des chatons. C'est la première fois qu'un collectif se réclamant notamment du logiciel libre prend position sur une question purement sociale.

Enquête TAPAS](https://dares.travail-emploi.gouv.fr/publication/there-are-platforms-alternatives)) de la DARES : développement des plateforme alternatives (600 pages) le travail de sociologues dans ce rapport met à mal le TINA (this is no altenatives aux plateformes). on détricoque le code du travail ou on change même la nature même du travail. L'enquête se propose d'observer la proposition à des alternatives concrètes. On y parle des chatons et notamment de ce fait rare

M A R S 2 0 2 2

N ° 2 8

• R A P P O R T D ’ É T U D E S •

There Are Platforms as Alternatives Entreprises plateformes, plateformes collaboratives et communs numériques

Internet capitaliste :

Premier age : Mise en place des GAFAM et webclouding sans l'expression du capitalisme.

Deuxieme age : Plateformisation de nos société (avec les emblèmatique NATUS ) : suite à la crise de 2008. Typiquement UBERisation. Elle n'a pu exister que grace aux infrastructures du premier age.

Quel est le rôle des "libriste" dans la lutte contre la destruction du droit du travail due à ce deuxième age ?

Une alternative est-elle possible, le combat est-il perdu ? Discours global disant que non, puisque c'est nécessaire pour créer des emplois pour ces personnes. C'est aussi une manière de contourner la réduction du temps de travail. C'est un travail de déconstruction des conquêtes sociales consistant à décoreller la rémunération de la tâche effectuée.

L'idée étant d'expliquer l'histoire, cf dégooglisons internet, cf fondation du projet. Il a alors été évoqué la très grande capitalisation de ces géants. Plusieurs regards très différents coexistent sur la politique à tenir. Il y a une vraie difficultée à parler de politique et plus particulièrement de la chose sociale.

En 2013, silicon Valley : grève qui va durer presque 9 mois, des sous-traitant (éboueurs, agents d'entretien, etc.) qui a croisé des grandes difficultés. Ils obtiennent une augnentation de salaire.

L'UBERisation mène aussi à une individualisation des consomateur qui ne se soucient de l'existance des travaileurs que lorsque qu'ils en ont exactement besoin.

Le smartphone est l'outil de la comande et celui de la réception de l'ordre. Le collectif est dynamité par l'outil technique,

Idées : Le service service publique du numérique.

les syndicats Solidaires, Sud

"Il ne savait pas qu'ils pouvaient le faire alors ils l'ont fait" Alain ou Oscard Wilde.

Un chatons garde son S même le chatons est tout seul.

Portée 18

Présence de 7 ou 8 chatons qui n'ont pas encore votés et d'un intru

Issues : https://framagit.org/chatons/CHATONS/-/issues/

Votes : https://forum.chatons.org/t/vote-lancement-du-vote-pour-la-18eme-portee/6216/

F : Atelier improvisé mais pris en compte lors de l'organisation de l'agenda de la portée.

Atelier pour les chatons qui n'ont pas eu le temps de traiter le dossier.

Dernier délai pour le vote ;: Aujourd'hui à 23h59.

4 candidatures. Proposition de couper le temps en 4.

Revue de chaque candidature puis débat.

Rappel du fonctionnement : Fiche audit sur le git. Vote sur le forum.

VRPNet : votes actuels : Très bien ou bien. Tous les retours ont été traites. Collectif.

PascalNet : Jeu de mot compliqué.

Iroco : œ

Paheko :

Réaliser des formats d'ateliers différents et plus inclusifs

Intro :

Les ateliers sont souvent conçus de la même façon et selon une même recette, on se base sur les autres ateliers pour faire de nouveaux atelier donc toujours (souvent) la même chose.

C'est souvent des formats très visuels qui ne correspondent pas à tout le monde.

Difficulté d'exprimer quand on a des difficultés (à suivre/comprendre...) donc pas de remise en question du modèle

Proposition : Mettre en commun la matière grise pour sortir de ces cadres pré-conçus

ne pas se baser sur des paperboard ou des post-it

Bryan : Remarque sur une formation d'animation (animacoop), qui a évoqué les métacartes entre autres pour varier les façons de faire

Mémoires visuelles, mémoires sur l'écriture, kinesthésiques... dans le milieu scolaire

si on emploie plusieurs sens plutôt qu'un, on a + de chances de toucher tout le monde

Ne pas partir du visuel comme point de départ/original à décliner, sinon les personnes qui n'ont pas le visuel n'ont droit qu'à une retranscription partielle du matériau d'origine

Besoin de formation des intervenants à tous types de handicaps et particularités pour faire intervention adaptée

Les personnes concernées se retrouvent toujours dans la position de la personne qui doit intervenir pour rappeler son besoin

Proposition : Que les intervenants demandent avant ou au début s'il y a des particularités ou des besoins spécifiques

Intervention de Bryan : 

On peut essayer de prévoir au moment de la conception de l'atelier d'être adapté à tous publics, mais il est difficile quand on n'a pas d'expérience en les handicaps d'être certain d'avoir un rendu qui est vraiment accessible, on juge avec son expérience

Brunélie : il faudrait que la personne qui conçoit l'atelier connaisse les particularités des participants avant de commencer la conception, car il est trop tard si on l'apprend juste avant le début de l'atelier.

Expérience aux JDLL - sur le site de la contrevoie, un atelier de Brume : systématiquement []donner le choix[] aux gens avant d'agir (ex : on ne touche pas les gens sans leur proposer) : on doit proposer des formats qui permettent à chacun de s'adapter.

En festival, pour de la sensibilisation, il est utilisé des dispositifs (lunettes...) qui simulent un handicap. Il serait intéressant de tester ça lors d'une plénière du camp CHATONS.

Des problèmes d'apprentissage ou de compétences peuvent représenter une forme de problème de compréhension partielle : cette expérience permet de se vivre un problème d'inclusivité sans avoir de handicap particulier

Penser aux autres de façon générale quand on s'exprime (tout le monde n'a pas les notions de ce qu'on exprime etc.) pour pouvoir inclure le maximum de monde

Constat de Flo : la préparation sous forme inclusive est rarement constatée, il est difficile de passer le message, il faudrait plus de sensibilisation à l'adaptation aux différentes particularités (parler de particularité plutôt que de handicap) Parler de handicap situationnel : une personne qui a des problèmes d’ouïe n'a pas de handicap quand il s'agit de lecture par exemple. Une personne qui n'a pas de connaissances techniques serait en situation de handicap dans un contexte de logiciels libres. Du coup parler de particularités, par rapport à la situation

Irina : Par rapport à l'adaptation

[]Faire un atelier ou une intervention parfaite c'est pas possible[] (on peut pas penser à absolument tous les cas)

certains besoins peuvent être contradictoires

Du coup partir plutôt sur la diversité : plutôt que d'un atelier qui a pensé à tous les cas, proposer différents ateliers faits de différentes manières, qui correspondront chacun à des profils différents

(des descriptions des ateliers sont nécessaires pour que chacun-e puisse choisir ce qui lui convient)

Exemple des JDLL : Pas de réussite de l'accessibilité sur place au niveau des interventions

Cas de la plénière : une attention à ne pas stigmatiser les personnes qui ont des spécificités de faire le travail d'éducation aux autres : par ex. écrire en gros les questions du brise glace ne convient pas à toustes

Irina : Aspect de l'accessibilité : quand il y a plus le temps de gérer, c'est toujours cette partie qui passe à la trappe

Flo : c'est bien de poser la question de façon large & d'aller voir les personnes concernées pour expliquer leurs besoins/mode d'emploi

exemple de la difficulté de lire sur les lèvres avec les masques et parfois refus de le retirer

Bryan : visibiliser le fait que des personnes aient des particularités (plus ou moins évidentes) c'est important, en tout cas tout le monde est au courant et fait des efforts dans ce sens

Brunélie : Proposition d'inverser un peu le rapport audio/visuel en pensant d'abord son atelier dans la façon de l'exprimer oralement, avec des extraits sonores ou musicaux (qui peuvent être transcrits en texte, mais en pensant d'abord à l'audio puis au visuel)

possibilité de miser sur l'audio en décrivant explicitement que c'est principalement audio, pour que le choix puisse être fait en amont par les personnes

Bryan : Formation à la prise de parole qui inclut à la fois l'audio, l'écriture (visuel) et le mouvement (kinesthésique)

Flo : à propos de faire des ateliers différents (certains + visuels, certains + auditifs), ce serait mieux de faire un atelier qui fait le tout et soit le plus inclusif possible

Irina : peur que ce soit trop demander aux personnes qui présentent/animent les ateliers

Flo : ça prend + de temps

Denis : essayer de trouver des solutions dans l'atelier plutôt que de parler des problèmes

Margaux : le brise glace a été insécurisant pour certaines personnes, mot clé pour essayer de mieux faire : donner le maximum d'informations sur comment ça va se passer. Prévenir pour que les personnes sachent à quoi s'attendre, prévoir au besoin un temps de brief pour dire s'il va y avoir du visuel, de l'auditif etc. C'est exigeant vis à vis de l'animation. Peut être le faire à plusieurs pour réduire la charge et penser à plus de choses (une seule personne ne peut pas tout prévoir). Pouvoir gérer + de cas de figure.

Elias : Est-ce que quelqu'un qui a un atelier d'ici dimanche soir a un atelier à proposer qu'on peut préparer de façon inclusive dans le temps qu'il nous reste ?

Alain : Quand on a les moyens, il peut y avoir une personne qui transcrit l'atelier/discours en LSF

être seul pour animer un atelier en prenant en compte les spécificités de tout le monde, c'est chaud. Faire des binômes/trinomes, bref bosser en groupe

Flo : La LSF est pas forcément pertinente parce que peu pratiquée (2% des personnes avec des handicaps auditifs) (et c'est pas évident à mettre en place), faut savoir s'il y a des personnes qui la pratiquent et en ont le besoin

Margaux propose un atelier à travailler : Comment s'impliquer dans un collectif qui fait du numérique quand on a pas de compétences techniques ? Pour le moment non pensé en termes d'animation.

Plutôt en mode cercle de parole à la base

Flo : Ca lui convient le format cercle de paroles en petit comité et avec la transcription texte

Bryan : Faire des petits groupes de cercles de parole avec quelqu'un qui donne la parole pour que ça soit clair et lisible.

Brunélie : Restitution des discussions de chaque groupe de façon orale à la fin (et/ou écrite)

Bryan : écrire sur des grands formats (ne convient pas du tout pour le handicap visuel)

Irina : Imaginer un format où la discussion prend une place + importante parce que les formats style nuage de mots ne lui correspondent pas du tout

bryan : désigner un scribe pour la restitution à la fin en + de l'oral

Brunélie : proposer de condenser des discussions à la fin en 1 phrase/slogan, quelque chose qui puisse être dit oralement et retenu facilement, et placé à l'écrit de façon synthétique/visuelle intéressante

Flo : toujours penser aux deux formats à la fois (auditifs et visuels) pour que ça puisse convenir au plus de monde possible, c'est plus de travail

Miraty : Si jamais on utilise plusieurs moyens de communication quand on s'exprime, c'est + compliqué de s'exprimer, plus de choses à penser en même temps

si on le fait consécutivement (audio puis visuel ou l'inverse) ça décuple aussi le temps de l'atelier

Irina : ça en demande beaucoup à l'intervenant, qui doit faire 3x plus de boulot pour préparer son atelier

Elias : Travailler + ou bien aller à l'essentiel

Flo : Reformuler parfois rend les choses beaucoup plus claires et synthétiques

Margaux : être formateur ou animateur c'est plus compliqué et exigeant, on peut pas s'autoproclamer. On peut faire les choses à plusieurs par opposition à 1 animateur qui fait tout en descendant et qui prend mal les critiques

Faire la remarque pour demander si on peut prendre en compte x type de particularité.

Elias : Intérêt du forum ouvert d'ouvrir la discussion et de permettre aux personnes de se sentir légitimes malgré leurs maladresses.

Miraty : Pour améliorer l'accessibilité de manière générale : Améliorer la communication sur les besoins d'accessibilité qu'on les gens (savoir pourquoi les personnes ont besoin de certaines mesures) savoir ce qui est prévu pour chaque atelier, quelles demandes sont remplies (Quels sont les besoins + Lesquels ont été remplis)

Irina : tenter un atelier dans le noir ?

Flo : faire prendre conscience

Irina : ça peur permettre que les personnes aient un autre ressenti et puissent avoir une expérience et une attention différente aux choses.

Irina : des formats conçus et adaptés à la base pour que ça soit fun pour tout le monde, et ne pas avoir l'impression que ça a été adapté exprès pour une personne (qui du coup se sent mal). une adaptation peut donner des idées cool

Bryan : il y a certaines manières de faire mieux rentrer l'information qui justifient l'usage de certains supports

Irina : déjà un énorme choix pour les personnes qui ont accès aux ressources visuelles comparé à presque rien en auditif seulement

Bryan : être ok avec le fait que certains ateliers soient excluants pour certaines personnes pour être incluant d'autres personnes

Irina : il y a déjà plein d'ateliers excluants par nature donc pourquoi pas ceux là ?

Flo : malaise avec l'idée d'excluse certaines personnes dans des ateliers

Irina : Besoin d'exprimer que constamment l'impression de ne presque pas avoir de choix parce que les autres types d'ateliers sont à foison. Frustration des programmes qui arrivent au dernier moment et du peu de choix le moment venu. ex. Se déplacer et galérer pour aller à une conférence et où en fait c'est pas adapté du tout.

Importance de préciser les formats.

Si c'est pas possible d'être inclusif, être honnête et informer les personnes.

Elias : Besoin d'être transparents sur le cadre dans lequel on accueille les personnes

Slogan : On ne veut pas les miettes de vos diaporamas